Farouk EMERIC est né à l'île de la Réunion.
Enseignant de Français, il abandonne l’Éducation nationale pour se lancer dans une quête spirituelle. Il a pu côtoyer au cours de nombreux voyages à travers le subcontinent indien différents maîtres soufis des obédiences Naqshbandis et Tchistis. Au bout de nombre d'années d'initiation, ayant obtenu cet officiel titre de Shaikh, Pirr-é-Tariqat, il enseigne la voie soufie pendant 15 ans à la Réunion.
Initié au Mathnawi par son maître Shah Hakim Akhtarr, il affirme que cette œuvre en est un instrument primordial. Les distiques magnifiques qui comptent parmi les plus beaux de la littérature persane deviennent ici un véritable Zikr tant la dimension poétique est dépassée. Il suffit de l'écouter les chanter pour s'emporter dans sa sobre ivresse qui permet cet autre approche de l'autre: l'être humain apprend enfin à regarder son propre miroir et aller à la connaissance de son envers. Est ainsi brisée cette solitude insupportable de l'être.
Au cours de ce périple initiatique, cet "étudiant" comme il aime à se définir lui-même, rencontre la pensée japonaise au travers de cet outil merveilleux qu'est le Iaïdo, l'art de manier le Katana, le sabre japonais, cette sculpture Zen, ce support de contemplation qui a traversé, inchangé, les siècles. Pratiquant depuis 30 ans, il l'enseigne depuis 25 ans. Il affirme que rien dans l'accès à toute forme d'art n'est séparé de l'Amour, que cela en est même la finalité. Son prochain livre en préparation traite du Budo, de cette chevalerie présente en tout siècle et en tout peuple, dont l"ultime ambition n'est que de trouver son Hara, son centre d'être, qui l'on est.
Comme tout fait vraiment partie du Tout, il est aussi un "vieux" musicien de blues, chantant sur sa guitare autant les bonheurs, les affres et les transports de l'être que les distiques du Mathnawi.
Selon lui, il n'est que de parvenir un jour à ce sourire perpétuel du regard dans lequel, lui disait son Maître, il te faudra mettre un autre regard.
Enseignant de Français, il abandonne l’Éducation nationale pour se lancer dans une quête spirituelle. Il a pu côtoyer au cours de nombreux voyages à travers le subcontinent indien différents maîtres soufis des obédiences Naqshbandis et Tchistis. Au bout de nombre d'années d'initiation, ayant obtenu cet officiel titre de Shaikh, Pirr-é-Tariqat, il enseigne la voie soufie pendant 15 ans à la Réunion.
Initié au Mathnawi par son maître Shah Hakim Akhtarr, il affirme que cette œuvre en est un instrument primordial. Les distiques magnifiques qui comptent parmi les plus beaux de la littérature persane deviennent ici un véritable Zikr tant la dimension poétique est dépassée. Il suffit de l'écouter les chanter pour s'emporter dans sa sobre ivresse qui permet cet autre approche de l'autre: l'être humain apprend enfin à regarder son propre miroir et aller à la connaissance de son envers. Est ainsi brisée cette solitude insupportable de l'être.
Au cours de ce périple initiatique, cet "étudiant" comme il aime à se définir lui-même, rencontre la pensée japonaise au travers de cet outil merveilleux qu'est le Iaïdo, l'art de manier le Katana, le sabre japonais, cette sculpture Zen, ce support de contemplation qui a traversé, inchangé, les siècles. Pratiquant depuis 30 ans, il l'enseigne depuis 25 ans. Il affirme que rien dans l'accès à toute forme d'art n'est séparé de l'Amour, que cela en est même la finalité. Son prochain livre en préparation traite du Budo, de cette chevalerie présente en tout siècle et en tout peuple, dont l"ultime ambition n'est que de trouver son Hara, son centre d'être, qui l'on est.
Comme tout fait vraiment partie du Tout, il est aussi un "vieux" musicien de blues, chantant sur sa guitare autant les bonheurs, les affres et les transports de l'être que les distiques du Mathnawi.
Selon lui, il n'est que de parvenir un jour à ce sourire perpétuel du regard dans lequel, lui disait son Maître, il te faudra mettre un autre regard.